Je cherche le dessin vaporeux de ta robe blanche
Le simple reflet de tes yeux couleur pervenche
Mais où te trouves-tu donc ma chère muse
Je t'en supplie qu'enfin les mots fusent
Qu'en ce jour cesse ce terrible silence
S'il te plait, honore moi de ta présence
J'aurais tant besoin d'étaler les mots
Pour m'empêcher d'éclater en sanglots
Exprimer toutes ces choses que je ressens
Qu'enfin la poésie agisse comme un pansement
Sur mon âme embrumée et meurtrie
De toutes ces vieilles douleurs enfuies
Rends moi ma porte d'évasion
Les précieuses clefs de ma prison
Je veux voir la douce lumière
Au bout du couloir dans lequel j'erre
La guérison de mon âme endolorie
Passera par le biais de la poésie
Ô ma muse,je t'en prie, reviens moi
Car ton absence de plusieurs mois
Pèse sur moi de manière insupportable
En effet, je ne suis plus capable
De décrire tout ce que je ressens
Et cela constitue un véritable tourment
AMC
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La maladie du poète est bien celle de ne plus écrire..! Jolie poème..! |
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kimidoll |
Merci! Oui... il fut un temps où j'écrivais tous les jours. Je n'en ai plus eu le besoin et j'ai perdu la main. Et maintenant qu'écrire me ferait le plus grand bien... je n'y arrive plus. On m'a dit que j'avais un regard trop critique sur ce que j'écrivais... mouais | |
AMC |