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» Etat d'âme » Est ce ma verité ?
Commentaires
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Posté le 18/09/2008 à 08:35:24
L’âme est liée au corps par le non visible des sentiments Elle commande nos moments pas présence non demandée De ses larmes elle donne souffrance à nos seuls moments Par son sang elle bat en nos corps laissant traces imagées Souvenirs ancrées en nous par les moments de la destinée L’un sans l’autre, ne sachant vivre en ce monde désunis Etrange pouvoir de l’âme sur la route de vie par étrangeté Ordonnant les choix, dérangeant en posant parfois cris |
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mots de l'âme |
Posté le 18/09/2008 à 09:27:51
voilà ce qui est très intéressant, celà resume bien une bonne partie de mes croyances. J'aime bien!! | |
luka |
Posté le 18/09/2008 à 14:09:52
Dans nos voyages nous trouvons des âmes égarées Sont-elles fruit les tristes réalités de ce monde fou Où rien n’est don, seul déchéance est programmée? |
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mots de l'âme |
Posté le 18/09/2008 à 14:25:50
attention, chaque expérience est don, don précieux! Les âmes égarés sont hors de ce monde! Si ce discours t'intéresse envoie un MP s'il te plaît! |
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luka |
Posté le 18/09/2008 à 16:34:02
Rien ne calme les angoisses, la lumière est dérangeante Tout devient flamme en l’âme devenue aven de cette terre Le silence est ennemi de la paix, le bruit enfer bien étrange Même la chimie est impuissante, seul je suis avec mon ère |
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mots de l'âme |
Posté le 19/09/2008 à 11:29:05
Le temps est déréglé laissant notre esprit y devenir errance Mais qui est maitre de ce métronome fou Qui a pris ponctualité ? Alors nous allons crier vers le dieu du sablier tous ensembles Remets les aiguilles dans le bon sens car doute devient réalité |
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mots de l'âme |
Posté le 20/09/2008 à 10:41:18
Par sa constance cette impalpable raison délire en nos âmes Simple transfuge des passés sur constance de notre destinée Comme charbons ardents lâchant les brûlures de la diffame Pareillement au loup sur l’agnelle détachant la chair aimée Sans bruyance elle rôde sur notre raison en vacarme incessant Rien ne calme la déraison de présence avec ce faux complice Il boit notre essence comme vampire sur tendre couleur sang En faire alliée est combat sans vie sur les sentiments en vices Ce mélange entre physique et précipice sans lisières matériels Devient vite bataille de pleutres où l’expression est interdite Sur le fil du rasoir entre deux mondes de résurgence véniels Où l’incompréhension devient maîtresse des limites non dites Incompréhension sur la raison devenant prison de camisole Chimique ou physique mais contrainte de ce cri de silence Qui déchire les absents de ce monde où raisonnement s’isole Laissant les larmes en seules souvenances des tristes absences |
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mots de l'âme |
Posté le 20/09/2008 à 12:44:13
Posté le 20/09/2008 à 17:31:04
je ne te comprends que trop bien très bon texte a mon avis ça me parle | |
milo |
Posté le 20/09/2008 à 18:05:03
Vrillant nos esprits du bruit fracassant de ses peines Elles arrivent telle la tempête détruisant les valeurs Comme une tornade de vie, elles deviennent haines Mettant berne au drapeau des moments du bonheur Tourmente menant à l’abime des fonds de l’enfer Ouvrant la porte du chemin noir des angoisses Misère de l’âme devenant trop vite porte de fer Etouffant la parole, jetant le maudit en poisse Mélange incessant des bruyances néfastes à l’être Ecrasant le corps par ce tourment émanant des peines Par désespoir le damné devient souvenir du prêtre Par l’oublie de compassion la solitude devient reine Trouver le calme est nécessité vitale pour la survie Sinon vient trop vite la fausse délivrance de l’oublie Celle que donne le sommeil du tombeau de non dit Amenant les larmes de sable du déchirement d’esprit Laissant le désert brulant de la peine aux fonds des yeux Mise a mort de la dépouille terrestre sans échappatoire Agonie laissant les tourments des frasques du malheureux Devenir vérités, qu’il croit que cela en devient notoire |
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mots de l'âme |
Posté le 20/09/2008 à 18:27:06
Posté le 22/09/2008 à 20:08:24
L'âme se consume chaque instant de douleur de façon irréparable | |
mots de l'âme |
Posté le 22/09/2008 à 20:29:19
Posté le 23/09/2008 à 06:58:47
Par l'amité la lumiere jaillit | |
mots de l'âme |
Posté le 23/09/2008 à 18:41:41
La mettre en symbiose de notre devenir est possible L’étouffer semble combat perdu d’avance par abandon Nous ne pouvons que l’aimer sinon elle devient terrible Elle gère notre émotion à tout moment par force de don Quand elle trouve complice à son partage de l’amour Elle chante sur les yeux et sèche les larmes de fureur Donnant seulement diapason à fusion des troubadours Pouvant offrir les plus belles images de ces bonheurs Par abandon de l’âme l’être devient tourment de peurs Obligation de mettre liens envers elle, notre maitresse Celle de tous nos jours par l’obligation de fusion sœur Croire que l’oubli est raison devient chemin de stress Nous simple mortel devant l’eternel devons prendre vie Elle est présence sans visage mais si puissante par maux La toucher est chose impossible, elle se cache en l’esprit Sans elle nous sommes errances et la parole sans mots |
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mots de l'âme |
Posté le 27/09/2008 à 20:06:11
BRUIT DE TERRE Dans le tréfonds de mes pensées le bruit incessant de la terre envahit mon esprit Lentement il pénètre mon âme, usant les paroles que nous donne l’homme de dieu Plus rien ne peut être vérité, par la croyance le partage était annoncé pour la vie Par l’humanité la guerre est seule réalité, ne laissant place à pitié ou écrits pieux Destruction annoncée de l’humanité par sa seule présence et sa cruauté Seulement négation des sentiments d’amour sans possible retour d’espoir Laissant l’abandon du sentimental par la naissance de fausses réalités Les habitants de cette planète, deviennent loups pour tous cela sans sursoir Ils laisseront le feu, la misère sur les cendres d’une civilisation décadente Le sable sera seul témoin du futur de l’héritage laissé par ces non croyants Par le sang les livres donneront traces sur papier de braises incandescentes Rien ne restera, seul le silence aura l’écoute des souffrances de leurs néants Même les colosses seront réduits à la poussière de l’éternité sans avenir Le vent se détournera laissant les cendres des âmes dans l’errance du temps Les cris des damnés n’auront d’échos dans les méandres de leurs devenirs L’eau devenue sans consistance ne pourra apaiser le feu si adoré de Satan |
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mots de l'âme |
Posté le 29/09/2008 à 05:12:12
CRUAUTÉ DE L’ÂME Sons survenant du fond des ténèbres bousculant la raison Par sa violence devenant explosion en l’esprit tourmenté Cacophonie délirante dans les méandres des non passions Déchirant la quiétude de l’inhumanité mise en générosité Pénétrant les profondeurs de l’être mutant en troubles insidieux Ou la raison inversant réalité, mal devient permanence d’instant Bruyance si puissante que la chair tremble retournant les yeux Sans vie devenant mortification du sacrifié mis en croix de sang Cette musique émanant des entrailles de l’âme est complication Cruauté des mots laissés sur la feuille de la déchirure des folies Offrir amitié a l’instabilité est impossible combat de sensations Croire à la raison dans ce monde cruel, ne me donne plus envie Alors j’éteins l’encre de ma plume laissant a jamais le néant m’envahir A la solitude de l’ermite je préfère la pierre sur ma dépouille dénudée Le silence appropriera ma raison, de mécréant je serai gisant a maudire Dans la nébuleuse des âmes torturées, je ne veux plus gémir a jamais La douleur pénétrant mon esprit est trop forte, j’en suis démantelé Écartelé par la puissance des maux qui sont supplices non demandés Proie des créatures hybrides peuplant les enfers, je pleure en pitié Les larmes de pénitence trainant les chaines, pour toujours en l’éternité Errance sur les versants expiatoires ou les essences d’âmes sont brulées En torches jaunes de souffre et de terreur annonçant la diffame éternelle Des fumées nauséabondes s’échappent les vies vers les trépas annoncés Fantasmagories exutoires ou l’imaginaire devient images bien trop réel Didier |
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mots de l'âme |
Posté le 05/10/2008 à 21:12:58
Posté le 21/10/2008 à 15:18:18
CRÉANCE DES SOUFFRANCES REÇUES Pourquoi les âmes souffrent elles ainsi, j’aimerai être sans âme pour vivre sans tourment, être sans foi ni loi comme ces prédateurs qui sillonnent ce monde. Ils ont la science du profit, qu’il soit de chair ou de sang. Par plaisir ou inconscience ils exploitent le faible par la force de leurs méfaits. Laissant derrière eux désolations et larmes dans le cœur des blessés qui deviennent alors pantins aux âmes brisés, Les malheureux deviennent errance sans repères ni but, ressassant les mots incompris de leurs déchéances. Laissant la vie fuir de leurs auras, la défaite étant pire que tourmente de la mort. Tristesse et mal de vivre devient leurs lots. Sans retour a la lumière, leurs esprits sombres dans le désespoir devenant errance de damnation au pays des vivants. Le temps passe sur les maux, mais il laisse cette blessure béante et chaque jour rappel le calvaire à la mémoire qui ne peut oublier. Sans repos, la nuit est hors du sommeil, le jour sans éclat est la pénombre de leurs angoisses. Recommencement permanent en leurs pensées devenues plaies ouverte par la souvenance des sentiments offerts en sacrifice. Laisser la ce dilemme est malédiction, sans faillir il revient en redondance sur les êtres devenus spectres sans vie ni devenir, laisser la cette douleur est chose impossible l’aiguillon est planté au fond du cœur et le glaive tourmente l’âme, la chair, est dans le feu des enfers. |
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mots de l'âme |
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